Malgré mon utilisation importante des réseaux sociaux [c’est mon métier], la télévision fait partie intégrante de ma vie. Ça a même déjà été mon rêve d’y travailler et la liste assez diversifiée des émissions en attente d’écoute sur mon enregistreur numérique peut en témoigner. Alors aujourd’hui, en cette Journée mondiale de la télévision, je me suis dit : pourquoi ne pas la célébrer! 🎉📺

C’est en 1996 que l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 novembre comme Journée mondiale de la télévision. À cette époque, cette dernière jouait un rôle dans nos vies et avait une influence croissante sur les processus de décision. Avant l’arrivée d’Internet et des réseaux sociaux, c’est la télévision qui permettait au grand public d’avoir un regard sur le monde, sur les conflits, les menaces à la paix et à la sécurité internationale, ainsi que sur d’autres sujets essentiels comme les questions économiques et sociales. (Source: un.org)
Et c’est vrai! Le 11 septembre 2001, pour nous montrer les images de ce qui se passait aux États-Unis et pour en discuter en classe, notre professeur avait roulé la bonne vieille télé cathodique.
Mais à l’ère du numérique, comment va la télévision?
On a tous, dans notre poche ou dans notre sacoche, un accès rapide sur le monde. De notre téléphone, on peut suivre en direct un événement qui se déroule à des milliers de kilomètres. Une notification qui ne contient que 140 petits caractères et hop, on sait ce qui se passe. C’est donc vrai qu’aujourd’hui, le téléviseur n’est plus indispensable pour s’informer. Même pour nous divertir, il n’est plus indispensable. On a accès à des milliers de films, séries et documentaires sur des applications mobiles.
Mais reste que le petit écran continue d’être un média instructif, divertissant et ma foi… encore populaire. Comme gestionnaire de communauté sur plusieurs émissions québécoises, j’ai passé mon année à engager la conversation avec des téléspectateur.trices. Je peux affirmer sans gêne qu’elles accrochent encore les gens. Vous n’avez qu’à aller faire un tour sur les réseaux sociaux de vos émissions préférées, vous constaterez que ça y jase en masse. Puis, avec la popularité d’émission comme District 31 (qui est cap-ti-van-te), ça ne trompe pas, y’a encore des créateur.trices qui nous concoctent de fabuleuses émissions.
C’est simple, même si j’ai accès à beaucoup de contenu sur Netflix, Disney+, Crave et AppleTV, la télévision restera toujours mon média pré-fé-ré. Parce qu’en plus de me divertir, elle me donne l’occasion d’apprendre, de découvrir de nouvelles personnes et de me faire réfléchir.
La télé n’est pas morte, vive la télé!
Ma petite liste
Tant qu’à consacrer un texte sur le petit écran, voici une liste d’émissions que j’ai dévorées afin que vous aussi, vous puissiez trouver du plaisir à l’écouter:
- ⚜️ Nuit Blanche, parce que l’intrigue est captivante.
- ⚜️ 5e rang, parce qu’enfin, on tourne dans un milieu agricole et parce que les histoires sont si absurdes qu’elles méritent toute mon attention.
- ⚜️ Les Mecs, parce que je me bidonne (👋 la saison 2 est disponible sur TOU.TV).
- 🇺🇸 New Amsterdam, parce que ça me donne envie de croire qu’il y a encore des médecins qui, aux États-Unis, font de la médecine pour les humains avant tout, pas pour l’argent (👋 la saison 4 joue présentement sur NBC).
- ⚜️ Virage, parce que la santé mentale des athlètes est mise au premier plan, le jeu de Charlotte Aubin est impeccable et les textes sont justes.
- ⚜️ Infoman, parce que.
Mon gros gros gros coup de cœur des derniers jours, seulement disponible sur l’extra de TOU.TV: ⚜️ Doute raisonnable. Cette nouvelle série de Fabienne Larouche met en scène une escouade policière qui tente de résoudre des crimes sexuels. Cette série m’a rappelé Fortier, mon émission québécoise pré-fé-rée de TOUS LES TEMPS).
Et finalement, je m’en voudrais de ne pas vous suggérer toutes les émissions sur lesquelles j’ai eu la chance de travailler cette année: